G.F. / Libération – 5 juillet 1987

Avec trois équipes de tournage, 10.000 mètres de pellicule et 15 heures d’hélicoptère, Philibert dissèque tous les préparatifs de Profit. Une équipe dans la paroi, l’autre au sommet qui se relaient en permanence. Dans la nuit du 12 au 13, Christophe connaît de grandes difficultés dans l’Eiger. Froid et lampe électrique en panne. Le retard s’accu

mule. Au sommet Christophe porte les stigmates d’une nuit d’enfer. Tout le monde l’entoure comme un nouveau né. Plan après plan Trilogie pour un homme seul est un film d’amour.

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